Excerpt from the tour of the exhibition, blue version (tour by Pierre Viellard)
«Palissy used a very specific technique : lifecasting, using living or recently killed animals. Though we don’t know if he ever casted human beings. In his 1933 film, American Hungary born cinematographer Michael Curtiz tells the story of a sculptor very much inspired by Palissy. His name is Ivan Igor, and he is a wax sculptor who owns his own museum, hence the title of the film : The mystery of the Wax Museum. Three dimensions historical dioramas can be seen in his museum, such as the death of Marat, inspired by the painting by Jacques Louis David’s atelier you can see in the Musée des Beaux-arts of Reims. But a terrible catastrophe happens: his diorama is set on fire.»
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Exposition personnelle, FRAC Champagne-Ardennes, Reims, septembre-octobre 2011
Extrait de la visite de l’exposition, version bleue (dite par Pierre Viellard)
«Palissy utilisait un procédé particulier : le moulage sur le vif. Il moulait des animaux vivants, ou du moins fraîchement tués, pour parvenir à cet effet saisissant de réalisme. Mais on n’a pas de preuve qu’il ait jamais moulé d’être humains de cette façon. Dans un film de 1933, Michael Curtiz, le cinéaste d’origine hongroise de la Warner, met en scène un sculpteur qui amplifie la méthode de Palissy. Ivan Igor est un sculpteur de cire, propriétaire d’un musée de cire, d’où le titre du film : The mystery of the Wax Museum (Masques de cire en français). Il reconstitue dans son musée des scènes historiques sous forme de dioramas en trois dimensions. Un des fleurons du musée est d’ailleurs la reconstitution de l’assassinat de Marat à la manière du tableau de l’atelier de David conservé au Musée des Beaux arts de Reims. Mais, et c’est une catastrophe pour lui, son diorama brûle.»